
Tantôt je m'étonnai que croisant l'équinoxe,
Je me fende d'un post aussi peu orthodoxe
Et John Warsen aussi se montra fort surpris.
Il m'adresse un billet en lequel il me prie
Puisque nous sommes juste un vingt-et-deux Septembre
De me remémorer la chanson de Brassens,
Laisser les sentiments lanterner dans leur chambre
Et s'effare à mon manque impromptu de pudeur.
Tartuffe ! Crois-tu pas qu'en deçà de ce sein
Que tu ne saurais voir se dérobe mon coeur ?
Il déverse un sang lourd à rougir les rigoles.
Mais vous connaissez John : je sais bien qu'il rigole.
J'ai hésité quelques jours avant de publier ce... hum... poème ? et il n'est plus d'actualité : nous sommes le vingt-sept. J'ai finalement trouvé intéressant de le faire, d'abord afin que vous connaissiez mon don inné pour les vers de mirliton - et puis je le trouve assez drôle - enfin parce qu'il montre qu'émotion rime avec exagération.
La question philosophique du jour :
Mais comment Brassens faisait-il pour chanter la pipe au bec ?
3 commentaires:
Pourquoi est-ce que l'expression d'une vérité émotionnelle est-elle si souvent taxée d'impudeur ?
Sinon, très bien, le texte !!!
Venant de John, c'est bien sûr une blague. Je suppose que tu as lu son blog. :)))
Si j'avais commencé dans mon blog à raconter ma vie, ça n'aurait pas paru choquant. Mais dans le contexte qui existait depuis 1 an, cet article paraissait immédiatement hors sujet.
Oui, je connais l'humour de john W. je lis son blog.
C'est vrai, ça tranche avec le reste...
Enregistrer un commentaire